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Humeurs - Page 23

  • Voila, c'est fini ...

    Ca y est ... il est temps pour moi de partir...

    Je m'en vais avec qqes petits souvenirs de chacun ... notamment ...

    les poubelles le jour de notre déménagement de la Roquette : question tri, on a tout gagné ce jour là !,

    la Bonne Franquette et Mehmet,

    les toilettes ici, bien plus propres chez les hommes que chez les femmes (même si celles des hommes sont très mal agencées),

    mais surtout ...

    les Rrr... roulés de Wanda,

    la réactivité de Nathalie D.,

    une discussion passionnante au sujet de déménagement de pianos avec Aurèlie,

    la douceur et la disponibilité de Marlene,

    l'accent de Giulia,

    les conseils toujours avisés de Gaëlle,

    les rigolades échangées avec Yves,

    les "bonjour" chaleureux de Bernard,

    les horaires (aurait-il tout compris ?) mais surtout les délectables gossips de Frank,

    la charmante réserve de Mathieu,

    la musique de Philippe (regrettable que nous n'ayons échangé que si tardivement),

    la gentillesse et la douceur d'Emma - l'eau chaude de sa bouilloire aussi !,

    les exposés a rallonge de Jean-Stéphane,

    les vocalises de Laure,

    les pulls de Régis,

    la place de Mohend dans mon top 5 et les discussions qui s'y rapportent,

    les questions de Diane,

    les tenues féminines de Ouissem,

    le dynamisme de Cécile,

    la bonne humeur de Anne-Laure,

    Grégoire qui sera toujours Grégoire,

    la disponibilité de Marylène,

    les conseils bricolages de Brice,

    Dominique... la dame en mauve,

    l'aide précieuse de Sarah pour l'Appel des enfants,

    le passé picard de Olivier H.,

    le sourire de Julien Leman (!),

    le rire et l'approche pratique et efficace des sujets d'Isabelle,

    la zenitude et l'élégance de Nathalie L.,

    une discussion détaillée a propos de clef a pipe percée avec Jean-Christophe,

    la gentillesse de Stéphane,

    la voix de Marie R.,

    la féminité de Dominique R.,

    les heures d'explication Excel partagées avec Yann,

    la discrétion sans pareille de Irène,

    la gestion des couverts de Christine,

    qui va de paire avec le taboulé de Thierry,

    le penchant pour la chose féminine mais surtout et avant tout le professionnalisme de Edouard,

    le rayon de soleil qu'apportent Laurent K. et Hubert G. dans leurs rares passages ici,

    les bières bues bras-dessus/bras-dessous avec Benoit,

    le sourire extra-ordinaire de Catherine G.,

    le naturel de Amandine,

    le franc-parlé, la clairvoyance et la décontraction de Denis,

    le calme et la réserve appréciable de Catherine P. mais également de Daniel V.,

    les cadeaux de noël de Nelly,

    le naturel et la voix portante de Martin (que je remercie sincèrement pour nous avoir permis une journée d'alevinage dans l'Allier),

    mes tardives collaborations au travail de Raymond-Francois,

    une réunion tenue dans la cour de la Roquette en plein été et une discussion trop rapidement écourtée à propos de musique manouche avec notre président Daniel Richard,

    ... les périodes difficiles et surtout les immenses moments de rigolades avec mes consœurs de la COM...

    Je pars avec tout ça sous le bras...
    Un de ces 4, peut-être les ressortirais-je a l'occasion de nouvelles aventures professionnelles qu'il me reste a construire .... 

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  • Accoutumance de comptoir

    Une petite musique pour la bonne humeur cliquer ci-dessous

     

     

    Je ne voulais pas prendre d’espace, me faire discrète dans un paysage qui n’est pas le mien - assurément le sien – sans non plus m'oublier ou disparaître.

    Simplement me faire une petite place dans cet univers. Ne pas faire de bruit. Juste profiter de ces moments délectables.

     

    Et puis aussi, un peu quand même, l’observer, de très loin, du haut d'un tabouret ou de derrière ceux à qui je parlais, juste du coin de l’œil, sans qu’il ne le devine. Simplement pour voir s’il a changé, imaginer et voir ce qu’il devient, tenter de retrouver avec distance ce qui faisait son charme et qui ne l’a visiblement pas quitté !

    J’étais là… autant en profiter !

     

    Ce qui est amusant, c’est que cela nous a pris du temps … un besoin probable pour chacun de nous deux d’assimiler le fait que l’autre soit de nouveau dans le paysage - dans SON paysage à lui en l'occurence - et que l’on va devoir faire avec.

    Ce n’est ni désagréable ni agréable d’ailleurs. C’est juste curieux.

     

    J’ai aimé cette distance, cette réserve – m’a t-elle semblé - partagée. J’ai aimé l’agréable et imperceptible malaise que la situation engendrait. J’ai aimé le voir s’acclimater tout aussi doucement que moi - et si ce n’est s’acclimater, en tous cas, considérer l’autre un peu plus, jour après jour – mais il faut probablement préciser que nous pourrions avoir chacun de bonnes raisons assez différentes de ne pas être spécialement chaleureux avec l’autre ..

     

    Nous n’avons échangé aucun propos en dehors de « salut » souriants mais c’est probablement ce qui aura fait le charme de l’histoire.

     

    Il nous aura fallu, à lui comme à moi, un curieux temps d’accoutumance, finalement délectable parce qu'inexplicable, mais ce que je retiens de ce moment, c'est un morceau de Morcheeba qui flottait dans l'air et ce massif de passiflore.

     

    C'était simplement bon et c'est ça qu'il y a de bien !

     

     

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