Oui, faut l'avouer ... dans son dos, je me permets
De m'attarder, d'imaginer
Ses muscles, ses courbes, son grain de peau,
Le creux de son cou...
Le trouver beau.
Oui, faut l'avouer ... dans son dos, je me permets
De tirer la boucle du tablier,
De deviner une cambrure, de m'arrêter à la ceinture,
Pour laisser à mes mains la caresse
De cette paire de fesses.
Je souhaite que cela s'éternise,
Crains -avec délice- d'être surprise,
Espère qu'il ne se retourne pas
(pas tout de suite, pas comme ça)
Et s'il comprend ou s'en aperçoit,
Qu'il feigne d'apprécier ça.